Quelle épidémie majeure de maladie sévit dans les villes américaines à la fin des années 1800 ?
La fièvre jaune a causé des dizaines de milliers de décès à la fin des années 1800, et elle était particulièrement répandue dans le sud et l'est des États-Unis. La maladie est causée par un virus transmis par les moustiques et peut provoquer divers symptômes, notamment de la fièvre, la jaunisse, des vomissements et de la diarrhée. Dans les cas graves, la fièvre jaune peut être mortelle.
Choléra
Le choléra était une autre épidémie majeure qui a touché les États-Unis à la fin des années 1800, en particulier dans les villes surpeuplées du Nord-Est. La maladie est causée par une bactérie qui peut contaminer les aliments ou l’eau et provoquer de graves diarrhées, des vomissements et une déshydratation. Dans les cas graves, le choléra peut être mortel.
Variole
La variole était une maladie très contagieuse qui a causé environ 300 000 décès aux États-Unis à la fin des années 1800. La maladie est causée par un virus et peut se transmettre par contact avec une personne infectée ou avec des objets contaminés. La variole peut provoquer divers symptômes, notamment de la fièvre, des éruptions cutanées et des cicatrices. Dans les cas graves, la variole peut être mortelle.
Tuberculose
La tuberculose (TB) était une autre épidémie majeure qui a touché les États-Unis à la fin des années 1800. La maladie est causée par une bactérie qui peut affecter les poumons et peut provoquer divers symptômes, notamment de la toux, de la fièvre et une perte de poids. Dans les cas graves, la tuberculose peut être mortelle.
Ce ne sont là que quelques-unes des principales épidémies qui ont touché les États-Unis à la fin des années 1800. Ces épidémies ont eu un impact dévastateur sur le pays et ont contribué à façonner la manière dont la santé publique est gérée aujourd’hui.